L’actrice de ‘Bridgerton’ partage son expérience de rénovation et présente une vente éphémère d’objets vintage en collaboration avec la boutique Sylvie.
En 2021, Phoebe Dynevor, l’actrice connue pour son rôle dans “Bridgerton”, a fait l’acquisition de son premier logement à Londres, qu’elle a souhaité rénover tout en respectant l’histoire de cet espace. Dans une interview accordée à Architectural Digest, elle déclare : « J’ai décidé de tout reconstruire, en gros. C’est à Londres, je vis dans une rue pavée, c’est un vieux Londres, et je voulais juste garder ce sentiment. »
Pour meubler sa nouvelle maison, Dynevor a opté pour des pièces antiques, qu’elle juge non seulement esthétiques mais aussi chargées d’histoire. Elle explique : « J’aime l’histoire, j’adore savoir que je vis dans une maison avec des pièces qui ont été dans différentes demeures. C’est tellement inspirant. »
Le 30 mars, les amateurs de décoration auront la chance d’acheter quelques-uns de ses articles préférés lors d’une vente éphémère en collaboration avec Sylvie, une boutique en ligne d’antiquités fondée par Chelsea MacDonald, ancienne influenceuse Instagram. MacDonald a conçu Sylvie pour proposer des objets anciens de manière moderne, avec des collections soigneusement choisies disponibles pour une durée limitée. Elle souligne que cette approche revêt un aspect émotionnel : « Nous voulions vraiment développer cette expérience réelle de chasse et de recherche, et lorsque vous trouvez quelque chose de particulier, c’est ce moment d’anticipation et d’excitation qui compte. »
Dynevor s’est intéressée à Sylvie après l’avoir découverte sur Instagram. Selon MacDonald, l’actrice « a une perception très internationale » et « a un véritable amour pour le vintage et les antiquités ». La première expérience de Dynevor dans le shopping d’occasion remonte à son arrivée à Los Angeles, où elle a cherché des moyens abordables pour meubler son appartement avec une amie en visitant le Rose Bowl Flea Market. Elle recommande aux personnes intéressées par le vintage de commencer par des marchés similaires pour se familiariser avec leur style. « Trouvez des pièces qui vous parlent et qui se sentent uniques et spéciales », conseille-t-elle.
MacDonald parcourt le monde pour dénicher des pièces ayant une histoire particulière, car vendre des antiquités en ligne nécessite une grande confiance de la part des clients. Elle insiste sur l’importance de la narration derrière chaque objet, notamment parce que les générations Z et les millénaire recherchent des occasions de consommer de manière responsable. Elle explique : « Il y a une forte demande parmi la génération Z et les millénaires pour l’individualité. Ils souhaitent quelque chose d’éclectique qui les représente. Donc je pense que c’est précisément là que le vintage et les antiquités entrent en jeu. »
La collection de Dynevor inclut des meubles Louis XVI, des tapisseries anciennes et de petits objets décoratifs. Les ventes Sylvie offrent une variété de prix afin de permettre à un large éventail d’acheteurs de participer. Interrogée sur sa pièce préférée, Dynevor met en avant un avantage souvent négligé des antiquités : leur utilité. Elle souligne : « J’adore les planches à découper françaises, elles sont si belles et je ne sais pas pour la plupart des gens, mais surtout à Londres, je n’ai pas beaucoup de rangement, donc j’aime tout ce qui peut rester sur le plan de travail de la cuisine et que je n’ai pas à ranger parce que c’est tellement beau. »
En somme, l’initiative de Dynevor et de Sylvie marque un tournant dans la façon dont les antiquités sont perçues et commercialisées, en les liant à la consommation moderne et à l’authenticité.
Source: Noah Wire Services